Une priorité oubliée comme toujours ...
Retrouvez toutes les photos et films de l’événement sur le Facebook de la délégation ainsi que sur le site national.
Liens utiles :
https://www.facebook.com/apf.gard/
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Mis en ligne hier, le Guide Fiscalité & handicap Faire Face 2019 est téléchargeable sur www.faire-face.fr.
Il détaille notamment toutes les modifications entraînées par le Prélèvement à la source.
Si la CDAPH accorde à un enfant des heures d’aide humaine sur le temps périscolaire alors l’État est tenu de mettre un accompagnant à sa disposition. Un arrêt en appel vient de rappeler cette obligation légale.
Il n’y a pas que l’école dans la vie d’un élève. Il y a aussi les temps périscolaires : la garderie, l’étude surveillée, les éventuelles activités sportives après la classe… La Maison départementale des personnes handicapées du Finistère l’a bien pris en compte pour J., un enfant en situation de handicap.
En août 2016, sa Commission des droits et de l’autonomie (CDAPH) lui avait accordé 35 heures d’accompagnement individuel pour les trois années à venir : 24 heures pour le temps scolaire et 11 pour le périscolaire.
L’État se limite au temps scolaire
Mais l’Éducation nationale avait refusé de mettre à disposition un(e) auxiliaire de vie scolaire au-delà de 24 heures. Motif avancé : les activités périscolaires sont facultatives. Elles n’entrent pas dans le champ de compétence de l’État qui n’a donc pas à financer l’accompagnement des enfants handicapés.
Les parents de J. saisissent alors le Tribunal administratif de Rennes. La Commune de Plabennec, qui avait pris à sa charge les 11 heures manquantes, s’associe à leur recours. En juillet 2017, ils obtiennent la condamnation du ministère… qui fait appel. La Cour administrative d’appel de Nantes leur a de nouveau donné gain de cause, fin juin.
Un équipage de deux pilotes en situation de handicap participe au Raid Latécoère 2018 reliant Toulouse à Dakar, au Sénégal. Un périple de 55 heures de vol et 9 000 kilomètres. Dans le sillage des aventuriers de l’Aéropostale, les deux hommes font, eux aussi, figurent de pionniers.
Rencontreront-ils, dans le désert du Sahara, un petit prince aux cheveux d’or qui leur demandera : « Dessinez-moi un mouton ! » ? Qui sait… Ce qui est sûr, c’est que Jean-Michel Secondy et Éric Dabas vont réaliser un rêve de gosse. Ce jeudi 27 septembre, ces deux pilotes handicapés chevronnés prennent le départ du Raid Latécoère, reliant Toulouse à la capitale du Sénégal. Des étoiles plein les yeux.
Un voyage de 9 000 kilomètres et 55 heures dans les airs, à bord d’un avion léger, sur les traces des pionniers de l’Aéropostale. Cette compagnie aérienne a exploité les lignes Toulouse-Dakar puis Europe-Amérique du Sud de 1927 à 1933. Antoine de Saint-Exupéry en fut l’un des plus célèbres pilotes, tout comme Jean Mermoz et Henri Guillomet.
Faire rêver et changer les mentalités
Objectifs de cette aventure ? Entretenir la mémoire de ces lignes aériennes dédiées au transport du courrier postal mais aussi de passagers, à une époque où chaque vol était une aventure risquée, parfois même fatale. Également soutenir des projets culturels et solidaires axés sur l’éducation et l’aéronautique. De quoi faire rêver d’autres gamins qui vivront leur premier baptême de l’air.
Des titulaires de la carte européenne de stationnement ou de la carte mobilité inclusion se sont vu infliger, à tort, des forfaits post-stationnement. Suivez ces quelques conseils pour limiter les risques.
« Des agents m’ont collé trois forfaits post-stationnement depuis janvier 2018. Et pourtant, ma carte stationnement handicapé était bien visible. » Passy et d’autres lecteurs ont laissé des commentaires agacés, sur faire-face.fr, suite à la parution de notre premier article sur le sujet. Dans leur viseur, la réforme du stationnement.
Gratuité pour les titulaires d’une carte
Depuis le 1er janvier, un automobiliste n’est plus sanctionné par une amende de 17 € s’il n’a pas glissé de pièces dans l’horodateur. Il doit s’acquitter d’un forfait post-stationnement (FPS). Son montant varie d’une commune à l’autre. En revanche, les titulaires de la carte européenne de stationnement (CES) et de la carte mobilité inclusion (CMI) conservent le droit de stationner gratuitement sur n’importe quelle place.