Des laboratoires pharmaceutiques spécialisés dans le traitement de la Sclérose en Plaques mettent à votre disposition des sites d’information complets pour mieux s’informer et comprendre la SEP :

- La SEP bouge http://www.la-sep-bouge.fr/ des laboratoires Biogen Idec

- SEP ensemble http://www.sep-ensemble.fr/ des laboratoires Genzyme

- Mieux vivre avec la SEP le site http://www.mieux-vivre-avec-la-sep.com/ des laboratoires TEVA

Source : Site APF de la SEP  http://www.sclerose-en-plaques.apf.asso.fr/

La sclérose en plaques peut entraîner une hyperactivité de la vessie, qui se manifeste par une incontinence urinaire et une augmentation de la fréquence des mictions. Lorsque ces troubles urinaires sont réfractaires aux traitements, on peut avoir recours à la toxine botulique, c'est-à-dire au botox. Une petite révolution qui permet d'améliorer la qualité de vie des patients.

Lire la suite sur le site Allodocteurs (24/10/2014)

Une alimentation trop salée pourrait contribuer à augmenter l’activité clinique et radiologique de la Sclérose En Plaques (SEP). C’est ce que suggère une étude récente publiée dans une édition de neurologie du groupe British Medical Journal.

Lire la suite dans le Quotidien du Médecin. A lire également dans Le Figaro

Source : www.sclerose-en-plaques.apf.asso.fr/

Cette websérie, réalisée par une équipe de soignants et de bénévoles de l'hôpital Saint Philibert de Lomme(59) et financée par les laboratoires TEVA, comprend 14 épisodes de 5 minutes environ qui expliquent les principaux symptômes de la Sclérose En Plaques.

Chaque épisode présente un type de symptôme (troubles locomoteurs, visuels, sensitifs, cutanés, ou encore fatigue, stress, douleur…), les professionnels de santé vers lesquels les malades peuvent se tourner, et des conseils pour gérer les symptômes.

Vous pouvez découvrir cette série, qui a débuté le 28 mai, sur la page Facebook spécialement dédiée ou sur You Tube

Plus d'informations

Bonnes nouvelles pour les prévention et traitement des maladies génétiques et neurologiques. Avec tout d’abord, l’arrivée de l’ataluren. Une nouvelle molécule capable de freiner considérablement l’évolution de la maladie de Duchenne. Son originalité ? Passer outre la mutation génétique causant la myopathie. De fait, son action empêche le blocage de la synthèse d'une protéine, la dystrophine, indispensable au bon fonctionnement des muscles.

L’ataluren a obtenu l'agrément temporaire de l'Agence européenne du médicament (EMA) et sera commercialisé sous le nom de Translarna dans l’UE.

Lire la suite sur le blog Faire Face de l'APF