Les infos - Page 301

  • Réunion à Montblanc le 27/11/12

    Château Saint-Pierre de Montblanc

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    Le mardi 27 novembre 2012, quelques membres de la délégation se sont rendus à Montblanc (34) au château Saint-Pierre pour une réunion d’information sur l’APF à destination de tous les nouveaux arrivants.

     

    Nous avons donc passé un moment convivial et instructif en présence de divers acteurs de l’APF (professionnels de santé, personnel de délégation, volontaires du service civique etc).

    L'occasion  pour nous de découvrir des métiers, des actions et des acteurs différents de l'association. Selon les participants, ces réunions très utiles permettent de découvrir l'étendue des projets portés par l'association et la nécessité de se coordonner davantage.

    Nous avons été ravies de découvrir également le "Château", lieu de formation ô combien  agréable.

    Pour information, le château Saint-Pierre a été construit en 1887 par Charles de Grasset et a été légué à l’Association des Paralysés de France en 1962.

    Aujourd’hui le château est constitué d’une Maison d’Accueil Spécialisée (MAS) et d’un Foyer d’Accueil Spécialisé (FAM) dédiée aux personnes en situation de handicap. La structure dispose de 42 places réparties entre centres pour enfants et adultes en situation de handicap.

     

    Les objectifs mis en œuvre sont :

    - L’hébergement et l’aide à la vie quotidienne

    - La prise en charge médicale et paramédicale

    - La proposition d’activités socioculturelles

    - L’accompagnement individualisé


    Nous remercions également le directeur de la structure, M. Poux,  pour son intervention lors de la réunion ainsi que pour son accueil chaleureux.

     

    Camille et Mélanie

  • Réforme de la décentralisation et MDPH : L'APF demande à l'Etat de garantir l'égalité de traitement sur l'ensemble du territoire !

    REFORME DE LA DECENTRALISATION et MDPH :

    L’APF demande à l’Etat de garantir l’égalité de traitement sur l’ensemble du territoire !

    L’Association des paralysés de France (APF) interpelle, par courrier, des membres du gouvernement au sujet de la réforme de la décentralisation. Dans le cadre de cette réforme, le fonctionnement des Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) pourrait être frappé de plein fouet, les départements se voyant « confier l’ensemble de la politique du handicap et de la dépendance, hors du champ de l’assurance maladie ». Marie-Arlette Carlotti, ministre chargée des personnes handicapées, a indiqué qu’elle consulterait les associations à ce sujet. C’est pourquoi l’APF tient à apporter sa contribution et à exprimer sa ferme opposition à toute modification du statut actuel des MDPH. L’APF reste très vigilante sur cette réforme qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour plusieurs millions de personnes en situation de handicap et leur famille et demande à l’Etat de garantir une politique nationale du handicap identique pour toutes les personnes en situation de handicap, quel que soit leur département de résidence !

     

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  • Compte rendu de la journée CDAPH : comment faire après une décision défavorable de la CDAPH ?

    Dans chaque Maison départementale des personnes handicapées (MDPH), une Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) est chargée de répondre aux demandes formulées par les personnes handicapées concernant leurs droits en matière d’orientation ou d’attribution des aides et prestations.

    Les décisions de la CDAPH doivent être motivées et notifiées à la personne handicapée ou à son représentant légal et aux organismes concernés.

    À compter du dépôt de la demande, un silence de plus de quatre mois de la part de la CDAPH équivaut à une décision de rejet. Un recours contre cette décision implicite est alors possible.

    Il est alors possible de remettre en cause une décision en cas de désaccord. Pour cela il existe deux catégories de recours. Le recours contentieux et le recours non contentieux.

    Pour lire la suite de l'article, téléchargez le fichier suivant :

    Journée CDAPH.pdf


    Mélanie Perrier

  • Compte rendu conférence CPAM 20/11/12

    Bon à savoir.

    L’accès à DSC06014.JPGune complémentaire santé est de plus en plus compliqué de nos jours pour plusieurs raisons : méconnaissance des droits en matière de financement de celle-ci, coût des complémentaires santé de plus en plus élevé, le choix d’une mutuelle adaptée compliqué etc.

    Pour toutes ces raisons, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie a mis en place trois dispositifs qui permettent aux assurés ayant les ressources les plus faibles d’accéder a une complémentaire santé.

     Les personnes en situation de handicap peuvent également en bénéficier, seul les revenus importent.

     

    • La CMU-C

    La Couverture Maladie Universelle Complémentaire possède tous les avantages que peuvent présenter une mutuelle dite « classique ». Celle-ci a l’avantage d’être gratuite pour toute personne ayant des ressources inférieures à un certain plafond (plafond disponible sur le site ameli.fr). Elle permet également la prise en charge à 100% de tous les frais engagés chez un professionnel de santé.

     

    Les conditions pour en bénéficier sont :

          - habiter en France depuis plus de trois mois,

          - être en situation régulière,

          - que le revenu mensuel du foyer ne dépasse pas un certain seuil.

     

    • L’ACS

    L’Aide à l’acquisition d’une Complémentaire Santé permet de percevoir une déduction des frais engagés pour une complémentaire santé. Tout comme la CMU-C, l’avance des soins est dispensée aux bénéficiaires de l’ACS.

    Une fois le dossier ACS accepté par la CPAM, l’assuré reçoit un chèque qu’il devra directement remettre à sa complémentaire santé. Le montant de ce chèque varie en fonction de l’âge de l’assuré et s’étend de 100 à 500 euros.

     

    Les conditions pour bénéficier de l’ACS sont :

        - La résidence en France depuis au moins trois mois,

        - être en situation régulière

        - percevoir des ressources comprises entre le plafond d'attribution de la CMU-C et 35% au-delà, selon la composition de votre foyer.

     

    En complément, le département du Gard met en place une aide spéciale d’Action Sanitaire et Sociale permettant une aide supplémentaire à l’ACS.

     

    Pour plus de renseignements consulter le site de la CPAM ameli.fr. Vous y trouverez également un simulateur qui vous permettra de savoir si vous êtes éligible soit à la CMU-C soit à l’ACS.

     

    Mélanie et Camille

     

     

  • Réparer la moelle épinière : une étape importante franchie

    Restaurer, régénérer, réparer… Peu importe le vocabulaire lorsque l’on souffre de graves lésions médullaires entraînant une perte des fonctions motrices. Les équipes de chercheurs travaillant de par le monde sur cette thématique utilisent différentes stratégies. Bien entendu, il faut prendre les précautions d’usage - la recherche dans ce domaine se chiffrant en années- mais une, en particulier, donne une succession de résultats positifs. L’approche consiste à reproduire une blessure de la moelle épinière chez l’animal afin de causer une paralysie (hémiplégie au niveau des pattes arrière) et d’essayer ensuite de la soigner en suivant un protocole donné. L’effet thérapeutique de ce type d’expérience est des plus concrets à évaluer : l’animal doit être capable après traitement de remarcher.

    Pour lire la suite de l'article, cliquez sur le lien suivant : Blog Faire Face