Accessibilité - Page 16

  • Nos amis d'Handilol ont testé New York cet été

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    "C'est officiel... New York est la ville la plus accessible que nous ayons visitée !" Rudy et son frère Julien nous font partager les aventures et nous abreuvent d'informations sur leur dernier voyage.

    Jusqu'à présent, Barcelone détenait la palme de leur classement avec une note de 4,2/5 mais la grosse pomme vient de monter sur la première place du podium, avec une note de 4,3/5 !

    Ils rentrent juste de leur voyage et s'ils mettent de côté les problèmes liés à l'hébergement (les normes étant moins pratiques dans les salles d'eau), tout s'est très bien passé (voirie, commerces, transports, wc publics, visites culturelles..). Ils vous invitent à découvrir cela dans leur descriptif complet et dans les différentes vidéos qu'ils ont réalisées ! Cela vous donnera peut-être des idées pour un futur voyage !

    Voir le site d'Handilol

  • Annulation des dotations 2017 aux collectivités locales : l'APF, inquiète, interpelle le Premier Ministre

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    L'Association des Paralysés de France vient d'interpeller le Premier Ministre, suite à la décision d'annuler par décret 300 millions d'euros de dotations aux collectivités locales pour l'année 2017. Celles-ci sont notamment utiles aux communes pour la réalisation des travaux d'accessibilité. 

    Bien que conscients de la préoccupation de maintenir un équilibre budgétaire, nous avons souhaité alerter le gouvernement sur les conséquences de cette mesure. En effet, l'annulation de ces dotations entraînera le report voire l'annulation de travaux pour la mise en accessibilité des installations ouvertes au public, comme c'est le cas pour la commune de Voivres dans les Vosges. Un reportage à revoir sur France TV Info.

    Ces travaux étant généralement subventionnés, les collectivités locales risquent, faute de soutien, de ne pas les réaliser dans les délais prévus par les Ad'Ap. Le dispositif des Agendas Accessibilité Programmée prévoit en effet, pour les communes, d’obtenir un délai supplémentaire de 3 à 9 ans pour ces travaux. L'échéance du premier délai de 3 ans est fixé à la fin du mois de septembre 2018.

    Nous demandons au gouvernement, au contraire, d'impulser et de soutenir ces collectivités engagées dans la mise en accessibilité de leurs bâtiments.

  • « Destination pour tous », un label pour faciliter le tourisme des personnes en situation de handicap et des seniors

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    Après le label « Tourisme et Handicap », le label « Destination pour tous » indique les territoires accessibles pour faciliter le tourisme des personnes en situation de handicap et des personnes âgées. A l’aube du week-end prolongé du 14 juillet, focus sur ce label qui a vu le jour en 2013 : à quoi sert-il ? Comment l’obtenir ? Quels sont les critères pris en compte ? 

    Label « Destination pour tous » : quézako ?

    Partir en vacances avec l’avancée en âge ou en situation de handicap n’est pas toujours chose aisée. Il faut en effet vérifier que la ville est accessible, que les restaurant, commerces, plages, espaces publics et infrastructures le sont également.

    En créant un label « Destination pour tous » en 2013, l’objectif était de définir simplement les territoires favorables aux déplacements des personnes handicapées afin qu’elles puissent trouver plus facilement un lieu de vacances pratique et accessible.

    Pour obtenir ce dit label, le territoire doit développer une offre répondant aux attentes d’au moins deux familles de handicap parmi les handicaps moteur, mental, visuel et auditif.

     

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  • Cap Handi ou comment prendre le large en voilier

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    En Charente-Maritime, l'association Cap Handi embarque des personnes en situation de handicap sur un voilier aménagé pour la navigation au long cours.

    Son fauteuil roulant est calé sur le ponton, face à la coque bleu turquoise du voilier. À la force des bras, Jean-Michel Bernard, paraplégique, se hisse à bord de Sochris Nine. Son équipement est rangé illico dans un recoin du bateau, loin des regards. L'embarcation est aménagée pour que les personnes handicapées se déplacent en autonomie : cordes servant de main courante, treuil pour descendre dans le carré, sièges baquets avec des sangles de maintien abdominal... « Ici, chacun doit oublier son handicap », lance Christophe Souchaud, skipper à l'origine de cet agencement. 

    En 2014, le capitaine a eu l'idée folle d'embarquer un équipage mixte de personnes valides et en situation de handicap pour le convoyage retour de la Route du rhum, la mythique course transatlantique. « Je voulais leur faire dépasser leurs limites, aller au-delà des ronds dans l'eau proposés classiquement. Tester la navigation hauturière sur une semaine, c'est autre chose. On m'a traité de fou, les assureurs ne voulaient pas suivre »,raconte le marin. 

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  • Dans le secteur du handicap, des opposants à Paris 2024

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    D'après un sondage du CIO, seulement 63% des Franciliens soutiennent la candidature de Paris aux JO de 2024. Parmi les opposants, certaines associations et personnes handicapées. Pour elles, les jeux pourraient ne pas être l’accélérateur d’accessibilité ni le coup de projecteur promis.

    nvestissements à rentabilité controversée, préoccupation environnementale… L'opposition aux jeux olympiques est motivée par plusieurs raisons. Même sur le domaine plus précis du handicap, il y a matière à controverse : l’accessibilité autour du lieu d’organisation va-t-elle être améliorée ? Le coup de projecteur sur les jeux paralympiques aura-t-il de réelles retombées positives ? 

    « Ce dont on a besoin, c’est d’un investissement pour améliorer la vie des citoyens » 

    Laurent Lejard, journaliste au magazine francophone du handicap Yanous, dénonçait dès février 2016 une dépense pharaonique en décalage total avec la situation économique difficile du pays et des collectivités locales. Surtout que les villes organisatrices tendent à dépasser leur budget : selon Le Monde, les JO de Tokyo sont prévus à 5,9 milliards d'euros coûteront entre 9,6 et 11,3 milliards. Les JO de Londres ont coûté près de 15 milliards, 10 de plus que prévu.

    Marie-Laure Darrigade, éducatrice spécialisée et responsable de la partie handicap du programme de la France Insoumise, souhaiterait investir directement dans l'accessibilité plutôt que dans deux semaines de jeux : « Je suis pour une ville de Paris accessible, je ne suis pas pour une ville de Paris olympique. Ce dont on a besoin, c’est d’un investissement pour améliorer la vie des citoyens ». Le président de la République Emmanuel Macron se veut rassurant sur ce sujet, évoquant un plan budgétaire « extrêmement limité ».

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