La biotech suisse GeNeuro et le laboratoire Servier, ont annoncé, ce lundi 26 mars, que leur étude menée dans le traitement de la sclérose en plaques présentait des "résultats positifs" à 12 mois. Les chercheurs lyonnais ont innové en travaillant sur les causes de la maladie et non ses conséquences.
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Sclérose en plaques: des chercheurs lyonnais affichent des résultats encourageants
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"Être une personne polyhandicapée en Occitanie" conférence/débat organisée par l'APF Occitanie Pyrénées - Méditerranée
l'APF Occitanie Pyrénées - Méditerranée a le plaisir de vous inviter à la conférence/débat sur le thème : "Être une personne polyhandicapée en Occitanie" (ouvert à tous les acteurs intéressés par le polyhandicap)
Le mardi 07 novembre 2017 de 9h30 à 16h30
Hôtel de Région (Salle Midi-Pyrénées)
22 Boulevard du Maréchal Juin
31406 Toulouse
Pour plus d'informations et voir le programme cliquer sur "Lire la suite"
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Sclérose en plaques : Et si tout commençait dans les intestins ?
Deux nouvelles études sur l'animal montrent que la flore intestinale pourrait, à elle seule, déclencher la maladie. Car certaines de ses bactéries activent des mécanismes immunitaires impliqués dans la pathologie.
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Handicap, l’espoir des nouvelles technologies
Article du 29/09/17 issu du site La Croix
Au 16e Salon Autonomic à Rennes (Ille-et-Vilaine), les 28 et 29 septembre, le public découvrira les avancées technologiques à destination des personnes en situation de handicap. Un secteur en pleine révolution !
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Lien entre tabac et sclérose en plaques
La SEP est une maladie complexe et multifactorielle, dont les causes restent à ce jour inconnues. Elle résulte de l'association de facteurs génétiques et environnementaux, dont la consommation de tabac.
Un facteur de risque de susceptibilité
Plusieurs études montrent une association solide, bien que modeste, entre la consommation de cigarettes et le risque de développer la maladie. Ainsi, le risque de développer une SEP serait augmenté de 1,5 fois chez les fumeurs par rapport aux non fumeurs. Cette corrélation serait dose-dépendante. De même, le risque augmente en cas de tabagisme passif.
Son impact sur l'évolution de la SEP
Une étude récente a montré le rôle délétère joué par le tabac après les premiers signes de sclérose en plaques. En effet, chez les malades continuant à fumer, la conversion en SEP secondairement progressive a lieu en moyenne 8 ans plus tôt que chez ceux ayant arrêté de fumer. Cette étude suggère également que le tabagisme avant le diagnostic influerait plus sur le risque de développer une sclérose en plaques que sur son évolution.